Si j’ai toujours aimé skier, me retrouver dans une ancienne bergerie située à flan de montagne ne faisait pas parti de mes projets. Lorsqu’elle se recouvre de son grand manteau blanc, elle est magnifique. Oui mais lors des longues soirées d’hiver, l’ennui s’y installe vite. Prendre la voiture pour aller au village est parfois une grande aventure m’obligeant souvent à rentrer à pied.

Que le chasse neige ne passe pas sur mon chemin vicinal peut se comprendre, mais hélas, ses visites sont également rares sur la petite route ne conduisant plus qu’à une seule maison, la mienne. Si j’habite là, ce n’est pas vraiment volontaire et je ne vais pas détailler mes malheurs que je vais résumer ainsi.

• J’ai perdu mon emploi quand la société a fait faillite.
• Quand on ne peut plus payer son loyer, il faut déménager et trouver moins cher.
• Trouver un appartement sans un CDI et 3 fois le montant du loyer en salaire à Paris est impossible et encore moins si l’on a pas un garant.

J’avais hérité un an avant mon licenciement de 20 hectares de montagne et une bergerie avec son habitation. Hélas, aucun acheteur n’a été intéressé, même pas un anglais. Il est vrai qu’il faut être motivé pour vivre la haut.

Mon propriétaire était très désagréable. Il n’arrêtait pas de m’envoyer des courriers méchants avec des papiers roses à signer et voulait des sous. A la fin, je n’ouvrais même plus ses torchons remplis de chiffres et même des menaces. La loi protégeant les locataires, il ne pouvait pas me virer avant x et x mois. J’ai bien failli lui répondre qu’il devrait apprendre ce qu’est la solidarité mais à quoi bon, c’était un rustre.

Le dit rustre que je connaissais pas encore physiquement, a tapé à ma porte un soir. Il était aussi large et presque aussi haut que la porte !

Il ne m’a pas demandé d’entrer, il est entré tout seul en me poussant. Quand il a plongé sa main dans sa poche, j’ai cru ma dernière heure arrivée. Ce n’est pas une arme qu’il en a sorti mais un papier où il était écrit « commandement à payer ». Pour une fois ce n’était pas mon nom qui était dessus ! Il m’a gentiment expliqué en me le faisant lire, que sans mon loyer il n’arrivait plus à payer le crédit de sa propre maison.

Et là, il a posé sa main sur mon épaule, m’a regardé droit dans les yeux et m’a laissé deux choix. La fenêtre ou la porte ! ! ! Histoire de bien me faire comprendre sa vision des choses, il a enroulé son bras autour de ma taille pour me soulever et se diriger vers la fenêtre qu’il a ouverte.

• Si je dois perdre ma maison par ta faute, il faut bien que j’ai un toit pour héberger ma femme et mes enfants. Un de nous est donc de trop ici. Regarde comme c’est haut ! M’a indiqué le proprio en me penchant dans le vide ! (4 étages)

Après m’avoir délicatement reposé sur le planché, il m’a donné une semaine pour quitter les lieux par la porte. C’était ça ou la fenêtre. Derrière son calme apparent, la tempête faisait rage, cela se voyait à son regard de pitbull et ce mec ne plaisantait vraiment pas. Voilà pourquoi je n’ai pas eu d’autres choix que de venir habiter là !

Reprenons pour en arriver au monde ABDL !

En célibataire coquin, isolé dans la montagne, lors de mes longues soirées d’hiver l’ennui s’installe vite. Les biches c’est joli à voir mais cela ne remplace pas les filles. A défaut, « Internénette » permet de se distraire, de se mettre en forme et d’entretenir l’appareil reproducteur.

Un soir, je suis tombé sur des images de très jolies filles jouant le bébé. Trouvant cela mignon et attendrissant, les pages des blogs m’ont conduit sur Abkingdom. Et là, des photos, il y en a plein ! J’ai pris un petit abonnement pour toutes les voir. Je n’y suis pas arrivé ce soir là, il y en a trop et mon organe reproducteur insistait lourdement pour faire son petit sport.

Le lendemain, bien avant que la glace commence à fondre, je me suis lancé dans une étude approfondit du site Abkingdom et Fessestivites sur l’ABDL. A midi je savais tout, enfin, je pensais tout savoir. L’envie d’essayer les couches me titillait, de rencontrer une fille aimant jouer le bébé aussi. J’ai chaussé mes skis pour redescendre jusqu’à ma voiture. La garer en pente aide bien à démarrer..... C’est comme ça qu’au supermarché, j’ai acheté mon premier paquet de couche. J’aurai du en prendre deux.

En effet, à mon retour, après avoir croisé un biche et un sanglier, j’ai donc testé la couche en m’y prenant comme un manche. Abkingdom et google étant devenus mes amis, j’ai pu apprendre à les mettre correctement. Le plaisir fut au rendez-vous. La sensation de chaleur et du sexe bloqué qui se révolte de ne pouvoir remonter m’ont donné le virus Diaper. Ce virus, il me fallait le partager avec une nana. Me voila donc en train de faire des recherches sur le site.

Faire une annonce m’a donné l’effet du syndrome de la page blanche. ABDL débutant cherche femelle à choyer et à sauter si affinités cela ne faisait pas. Il m’a fallu chercher un peu. Faire des photos fut bien plus simple et c’est ce qui m’a permis d’avoir des contacts. J’en ai fait en ski, assis dans la neige avec la vallée en fond, puis une où j’ai posé comme si j’étais tombé avec ma couche qui dépassait. C’est celle là qui m’a permis d’entrer en contact avec Minouche.

Elle m’a dit que j’avais la plus belle photo du site ! Effectivement, en arrière plan il y avait une biche et un faon dans la neige ! Concentré sur « moi » je ne les avais même pas vus quand je l’ai postée. Nous avons commencé à nous raconter nos vies en messages privés, le courant passait très bien entre nous.

Minouche avait eu des soucis d’incontinence jusqu’à ses 16 ans. Ses soucis l’avaient isolée et complexée. D’un naturel timide et ultra réservée, avec moi elle se lâchait. Pourquoi, je n’en sais rien. J’allais découvrir plus tard à quel point elle pouvait se lâcher !!!!!!

La première rencontre eu lieu en mars dans une brasserie à une heure de route de chez moi. Au mon dieu qu’elle était belle ! Vingt-cinq ans, cheveux longs châtains clairs, un sourire d’ange. Le seul de nous deux qui était en couche, c’était moi, je pensais que c’était obligatoire pour la première rencontre, un vrai neuneu.

Elle a voulu la voir juste avant que nous nous quittions. Quand j’ai du ouvrir le devant de mon pantalon dans le parking, je devais être aussi rouge que ma voiture. Minouche m’a dit merci, m’a fait un gros bisou presque sur la bouche avant de repartir chez elle, après avoir enflammé mon coeur. Complètement à « l’ouest », après avoir refait le plein de couche et m’être acheté un biberon puis une tétine, j’ai chanté des chansons de mon enfance jusqu’à la bergerie.

Le soir même, nous échangions nos numéros de téléphone et prenions date pour qu’elle monte à la bergerie. Son but présumé était de voir des biches. Avant de me coucher, j’ai été obligé de tester mon organe reproducteur et de laisser le résultat des tests dans la couche.

Minouche est arrivée sans encombre jusqu’au point de rendez-vous dans la vallée. Elle m’a suivi jusqu’à mon parking habituel. Lorsqu’elle a vu le chemin à parcourir pour monter chez moi à pieds, elle a tenu à le faire en voiture, la neige ayant fondu, cela était donc sans aucun risque. Dix minutes plus tard, je lui laissais la place d’honneur pour aller me garer en pente au cas où, mon carrosse me face des siennes. Après avoir déposé mes courses, (quitte à descendre on fait le plein) et lui avoir fait visiter la maison (bien rangée) puis la bergerie, nous voilà partis dans la montagne.

Minouche est bavarde, ce n’est pas compatible avec l’envie de voir des animaux sauvages. Je n’ai pas arrêté de lui dire « chut » mais rien à faire, il fallait qu’elle cause. Le temps change vite en montagne, nous étions à plus d’une heure de la maison quand j’ai senti l’odeur de la pluie et peut-être de la neige. Elle fut nettement moins bavarde pour redescendre avec son « guide de haute montagne », surtout sous la tempête de neige qui nous est tombée dessus. Comme je m’en doutais, lorsque nous sommes arrivés à la bergerie, prendre le chemin puis la route avec sa voiture était à hauts risques.

• Tu me fais le coup de la panne à ta façon ? M’a demandé Minouche

• Ben non, je suis désolé, je ne pouvais pas prévoir !

• Tu es un vilain garnement, cela mériterait une punition !

Ses yeux rieurs et son sourire d’ange firent fondre la neige de ma réserve. De toute évidence, elle n’était pas inquiète et ne m’en voulait pas.

• Tu as raison, je suis très vilain ! Fut ma réponse avec une pointe de provocation.

• Bon, je vais donc devoir dormir là en espérant pouvoir partir demain. Je te préviens que tu as intérêt à être sage, sinon pan pan cul cul ! Où sont tes couches ?

LA SUITE EST ICI

A SAVOIR : le site Abkingdom existe réellement et c'est un super site MAIS ne parlez pas de BDSM ou de bondage ou de fessée, les membres ont horreur de ça. Abkingdom c'est pour un monde douceur autour des couches.

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